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ile de france - Page 8

  • DES NOUVELLES DE NOS ELUS DE VANVES

    DEBRE AU CLI DU CEA DE FONTENAY

    Isabelle Debré, Sénateur des Hauts de Seine a été nommé à la Commission locale d’information (CLI) du Commissariat à l’énergie Atomique (CEA) de Fontenay-aux-Roses qui a tenu sa première réunion Jeudi dernier à Châtillon sous la présidence de Stéphane Jacquot. Cette commission a une mission générale de suivi d’information et de concertation en matière de sûreté nucléaire, de radioprotection et d’impact des activités nucléaires sur les personnes et l’environnement en ce qui concerne les installations nucléaires de base en démantèlement sur le site de Fontenay aux Roses. Là où a été mise en route la première pile nucléaire dénommé Zoé. « Nous allons travailler sur le démantèlement, la gestion des déchets nucléaires, être vigilant sur les dysfonctionnement et les incidents, en essayant de rendre l’information compréhensible par le grand public, en demandant au CEA d’être transparent » a expliqué son président en ajoutant : « Notre volonté est d’assurer une mission de contrôle, de ne pas inquiéter le citoyen,  mais de le rassurer »

      
    GAUDUCHEAU SUR LES TRACES DE MORIN

    Bernard Gauducheau est sur les traces de Didier Morin qui a siégé au Conseil Régional entre 1992 et 1998 en faisant partie, à la 9éme place – éligible – dans les Hauts de Seine,  d’une liste  « renouvelée, rajeunie, d'ouverture, et de la diversité » selon les termes de Valérie Pécresse dimanche dernier.  «Plus de la moitié des personnes qui figurent sur nos listes n'étaient pas candidates en 2004 et ont une moyenne d’âge qui est le mien, 42 ans » a-t-elle reconnu surtout si l’on prend compte les personnes en position éligible.  « C’est  une liste d'ouverture, qui rassemble huit familles politiques » avec des membres de l'UMP et du Nouveau centre, deux proches de Dominique Strauss Kahn, 5 représentants du MoDem, dont le sénateur des Yvelines Nicolas About, le parti radical avec Yves Jégo, tête de liste en Seine-et-Marne, la Gauche moderne de Jean-Marie Bockel, le Parti chrétien-démocrate de Christine Boutin.  « La composition de nos listes est emblématique de notre volonté de mettre en valeur la diversité » a poursuivi Valérie Pécresse en  soulignant qu'il y avait « dix fois plus de candidats issus de la diversité cette année qu'en 2004 ».

  • VANVES EN CAMPAGNE REGIONALE : LA GALETTE DU PS

    UN BULLETIN DE VOTE CONTRE LA SARKOZYSTE AÏGUE !

     

    La première « galette des rois » publique du PS avait un petit d’air de campagne bien affirmée samedi après midi dans le préau de l’école Max Fourestier, contrairement à l’UMP et le NC qui en avait tout de même l’air, voilà plus d’une semaine, mais pas publique, pour pas que « ça soit comptabilisé dans les comptes de campagne ». Pourtant les têtes de listes départementales étaient présentes : André Santini  (UMP/NC) qui a amusé la galerie sans vraiment parler des élections mais plutôt de sa ville, Philippe Kaltenbach (PS), le maire de Clamart qui a pour objectif de « mettre un coup d’arrêt à la politique de Sarko », entouré par Guy Janvier, conseiller  général, Fabian Estellano, 1er Secrétaire du PS de Vanves, Pascal Buchet, 1er Secrétaire du PS des Hauts de Seine 

    « Et lorsqu’il y a un coup d’arrêt, le pouvoir recule » a-t-il affirmé en prenant les exemples de l’EPAD avec le fils Jean, et EDF/Veolia avec Proglio. « C’est en menant ses combats que l’on pourra faire reculer le pouvoir. Nous avons une occasion à ne pas rater avec ses élections, en se mobilisant, en créant ce rapport de force » a-t-il expliqué. Pour ce conseiller régional sortant, « nous avons un bon bilan dans les régions gérées par le PS et il faut le mettre en avant avec des exemples concrets » a-t-il expliqué en citant pour l’Ile de France les transports, les lycées, la formation, l’apprentissage… « où nous avons fait un travail assez important, où nous avons suppléez aux absences de l’Etat » a-t-il continué en citant les logements sociaux et étudiants. « Il faut pouvoir continuer cette politique. Et on voit bien que Pécresse est là pour reproduire la politique de droite et de Sarko qui est très dangereuse pour le pays. Et contre cette sarkozyste aïgue, nous avons un vaccin qui coûte moins cher : le bulletin de vote ». Fabian Estellano, candidat sur la liste PS, avait insisté auparavant sur ce que Vanves avait bénéficié comme subvention de la Région en citant une crèche, le commissariat etc… Et Pascal  Buchet sur le fait que « la gauche a une possibilité d’être devant la droite devenue minoritaire. Le rapport de force est en train de changer. L’objectif est de reconquérir des communes comme Vanves ». Des paroles qui ont fait chaud au cœur de Guy Janvier.

    Après une question sur les  transports, tout le monde a pu partager la galette avec le cidre. Tous les socialistes, militants, sympathisants et même quelques supporters du Front de Gauche étaient présents. Il manquait une personne  qui n’est pas venue, et pour cause, depuis qu’elle a été évincée de la liste PS, et qui devrait faire beaucoup parler d’elle cette semaine depuis que son nom est apparu sur le tract des Verts annonçant leur meeting départemental à Antony vendredi prochain : Lucile Schmid. Pour laquelle certains lors de cette galette n’ont pas eu des mots tendres depuis que la rumeur circule sur son passage chez les verts : « Elle voulait être tête de liste du PS dans les Hauts de Seine. Alors qu’elle n’a rien fait à la Région, et qu’elle n’était même pas présente aux réunions du Conseil régionale ! ». 

  • 100 ANS APRES COPENHAGUE, VANVES EN 2109

    Et si on s’amusait à se faire peur alors que le sommet de Copenhague tire à sa fin avec la présence des chefs d’Etat à partir d’aujourd’hui. Vanves et la région Ile de France devraient connaître quelques surprises selon nos spécialistes.  

     

    Si rien n’est fait, à la fin du XXIéme siécle, les températures auront augmentés de 2 à 5° selon le scénario du Hadley Center. Pour Vanves comme pour Paris et ses consoeurs franciliennes, cela signifiera un climat équivalent à celui en vigueur dans le sud de l’Espagne. « Comme l’ont montré les épisodes de canicules, particulièrement en 2003, nos villes ne sont pas adaptées à ces vagues de chaleur » expliquent nos spécialistes. Ces quelques petits degrés de plus transformeraient le climat de notre ville en celui d’une commune andalouse, « telle que celle de Badajoz, prés de Cordue, aujourd’hui caractérisée par des étés brûlants et arides » explique ce scénario. Peut être y aura-t-il une toute autre végétation dans le parc F.Pic : Des palmiers, des cactus etc…avec une mer de sable plutôt que nos chères pelouses. Rappelez-vous la canicule avec ses 15 000 victimes… Dans des périodes aussi extrêmes, nos villes sont encore plus vulnérables : « A l’époque les nuits dans l’agglomération parisienne affichaient 9° C de plus que celles des communes de la périphérie ».

     

    Vanves pourrait vivre des événements extrêmes comme la tempête de 1999, des pluies ou des sécheresses ou des vents plus intenses, sans compter des inondatons pour les communes riveraines de la Seine. « Il faudra mettre de côté plus d’argent pour la prévention et la réparation des dommages qu’on avait l’habitude de le faire. L’Ile de France qui est un centre régional extrêmement imperméabilisé, ce qui fait qu’elle est à la merci d’une crue comme en 1910 mais qui avec les mêmes précipitations,  monterait de 70 cm plus haut, avec une perte de l’ordre de 10% du PIB Ile de France, de 30 milliards d’euros de dégâts. La question n’est pas de savoir si cela va arriver mais quand ? On voit bien qu’on n’a pas l’habitude de ce genre de phénomènes, vivant dans un climat tempéré, comme dans d’autres pays comme les USA  qui connaissent un hiver très rigoureux, des ouragans ».

     

    1° de + c’est comme si les éco systémes remontaient de 200 km vers le Nord ou descendaient de 250 m en altitude. En plus, il faut que la pluie, la chaleur… arrivent au bon moment. « En 2006, Mai, Juin, Juillet ont été plus chaud et sec, alors que c’est à cette période que les plantes ont besoin d’eau, et avec un Août avec 1° plus froid et de la pluie, ce qui a provoqué des récoltes de légumes en Europe qui ont baissé entre 5 et 50%. Ce qui a ensuite un effet sur les prix. Il faudra faire la révolution verte, en changeant les pratiques agricoles pour avoir des associations d’espèces plus robustes… et qui rendent aussi l’agriculture moins émettrice d’effet de serre et moins consommatrice d’énergie. Et ce n’est pas la substitution qui régle le problème. Il faudra mettre en place des méthodes de productions assez drastiquement modifié, relativement vite, sur des bases scientifiques qui n’ont pas assez été développé jusqu’à présent (agriculture intégrée, intensive, du bio intensif…) ».

     

    Beaucoup de spécialistes expliquent que ces changements climatiques pourraient être source de vives tensions, mais auraient aussi des répercussions économiques, notamment sur la fréquentation touristique : « 25% de touristes en moins, des milliers d’emplois supprimés ». Plus de colonies de touristes japonais à l’hôtel Mercure… et de Hara Kiri à SuperMarket. Le fait que la météo soit plus ératique avec une tendance à l’assèchement de l’été et de l’automne, posera des questions sur la qualité de l’eau, l’approvisionnement de la Région Capitale dans ses périodes, la question du partage de l’eau entre l’agriculture et les entreprises, la question du recyclage des eaux usées, la question de la navigation sur les fleuves et les canaux, des centrales thermiques qu’il faut refroidir… « La Région va être amené à gérer ou piloter ou assumer ou expliciter un partage conscient des ressources entre les acteurs, là où les choses étaient implicites tant qu’il y en avait beaucoup ».